Les travaux partenariaux d’élaboration du contrat de dynamisation et de cohésion territoriale, récemment conclu entre la Région Nouvelle-Aquitaine et les collectivités de Haute Gironde, ont fait émerger un chantier clé pour ces territoires : la mobilité.
Bénéficiant d’une position géographique de proximité avec des infrastructures routières (A10 et N10) et ferroviaires (ligne Bordeaux <> Saintes), la Haute Gironde dispose d’axes de communication vers des destinations à courte (Bordeaux), moyenne (La Rochelle, Angoulême) et longue distance (ouverture vers Poitiers et Paris). Néanmoins, malgré ces éléments favorables, la Haute Gironde reste encore marquée par l’enclavement d’une partie de son territoire, dont notamment ses franges occidentale et estuarienne les plus éloignées des axes de communication ainsi qu’un allongement conséquent des temps de parcours vers les zones d’emplois métropolitaines dû à la saturation chronique des infrastructures routières (A10 et A630 notamment)